MIWA, Kyusetsu XII.
né le 5 décembre 1940 à Hogi, Japon, d'une famille e potier depuis 400 ans, d'où le chiffre XII, indiquant le rang de sa génération;
Type(s) : Artiste
Technique(s) : Sculpteur
Présentation : Céramiste, il transcende l'art appliqué. En 1967, il débute avec une série de paires de chaussures féminines pointues à talon aiguilles dont certaines sont recouvertes d'or; c'est une réminiscence d'un conte qui a marqué son enfance. 'Série humaine', (1976-19-79), accumule des bustes caricaturaux borgnes édentés. Quand il crée les différentes pièces de la cérémonie du thé, (1983-1993), chacune d'elle est une création éloignée de l'utilitaire; ainsi du vase pour la fleur, de la boîte à thé et à encens, du bol. Une autre série d' 'Objets', (1982-1994), connaissent la même métamorphose, par laquelle des formes symétriques, s'ouvrent fémininement à des érections d'arbres calcinés. Une suite d'autoportaits dans des niches, le représente en orant, (1986).Terre cuite que la cuisson déforme et contracte puis émaillage à la paille de riz fondue. Il va vers des représentations monumentales, 'Sarcophages', (1979-1993), plus grands que nature contiennent l'un les reste de la femme, l'autre de l'homme sont 'découverts' en 2940, leurs restes et leurs objets usuels passés à l'or dans un sépulcre noir. 'Calligraphie de Himiko', (1992), ruines gigantesques et dorées d'un livre contant les hauts faits de la dame et d'autre part de sa jupe, 'Sic transit gloria mundi'. Une troisème sculpture sous le même titre est symétrique, ailée, en couleur de bois brulé, comme les deux Boudhas gisants (1979), sensés avoir été retrouvés mangés par la vermine dans les ables d'un désert. 'Le Souffle du dragon', (1995), énorme spirale dont la terre sera brûlée par partie au feu d'aiguilles de pins, tandis que les parties crues sont sauvegardées par la pose de bols durant l'incendie. Daans les pièces pour selle, il va d'un groupe 'Le Repos du guerrier', (1995) qui multiplie les escargots, natu-iles et autres amonites jusqu'à des viscères (1997) enserrant les piques de bois brulé,féminin etreigant le masculin. L'évocation explicite de la femme se fait par le torse ou par les jambes et le bas du ventre, couleur chair, 'Mariya', (2001), le torse est percé puisque la femme à donné naissance; le bas duventre est piqué d'une fleur qui esrt récurrente ici comme cache-sexe, partout ailleurs comme décoration.
Expositions : 2009, espace Mitsukoski, Paris, (P).
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